
La petite sœur du leader nord-coréen, Kim Jong-Un, devenue la femme la plus influente de la hiérarchie politique de ce pays hermétique, elle est appelée à prendre le pouvoir en cas de décès de son frère. Kim Yo-Jong suit son frère aîné dans la lignée de succession pour servir de «chef suprême» de la Corée du Nord.
Selon les médias sud-coréens, Kim Jong Un (âgée de 36 à 37 ans) « a récemment subi une chirurgie cardiaque » pour « tabagisme, obésité et surmenage ». Le leader nord-coréen serait dans un état grave après l’opération.
En moins de deux ans, Kim Yo-Jong est passée de responsable de l’image publique de son frère à une position élevée au sein du bureau politique du Parti des travailleurs au pouvoir, en charge de l’autorité politique du pays.
Yo-Jong, 30 ans, est la seule des soeurs et frères à avoir un diplôme universitaire officiel et entretient une relation privilégiée avec le leader actuel, avec qui elle partage la même mère.
Comme son frère, Yo-Jong a étudié en Suisse. Elle a fait sa première apparition officielle dans les médias nord-coréens en 2009, accompagnant son père lors d’une visite dans une université agronomique. La «princesse nord-coréenne» était la fille préférée de Kim Jong-il
Les médias sud-coréens disent que la jeune femme est connue dans ses cercles intimes pour avoir « abusé de son pouvoir » et puni les membres de son département pour toute « infraction mineure » qu’ils commettent. La «princesse nord-coréenne» est l’un des responsables sanctionnés par les États-Unis pour «graves atteintes aux droits humains».
Antenne509/A509
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